Par Bouzid ICHALALENE 22 juin 2019
Depuis le début du mouvement populaire le 22 février 2019, les médias ont toujours été pointés du doigt. Les manifestants leur reprochent de ne pas accomplir leur travail qui consiste à relayer les faits, les messages des pancartes et les slogans, en toute fidélité sans manipulation aucune.
Quelques jours après le 22, alors que les choses ont changé sur l’échiquier politique, après la contestation historique contre le cinquième mandat du cinquième mandat du président démissionnaire et déchu suite au Tsunami populaire, certaines rédactions des chaines de télés privées et publiques ont montré un semblant de liberté et de professionnalisme durant quelques jours.